C’est un peu tôt, je sais mais…. il vaut mieux trop tôt que trop tard et puis en janvier où serai-je?!!
Comme je vous l’ai dit : les “rendez-vous du’31′” continuent mais ils sont pris en main par Kraft (“au 142”) rien de changé pour nous : toujours tout public à partir de 14-16 ans ; toujours 5 €, toujours à l’espace Noirot à Villerest, 4 dates : janvier-mars-mai-octobre ; le seul changement est que les spectacles proposés ne seront pas seulement des contes mais seront toujours dans la même veine : c’est-à-dire de qualité et pour mettre en valeur et faire connaître de nouveaux talents :
mardi 31 janvier 20H 30: Sophie GENTILS (musicienne et conteuse)
ce n’est pas une chanteuse, c’est une chanson… ce n’est pas une conteuse, c’est une histoire…. ce n’est pas non plus une musicienne, c’est une musique…. Unique et incomparable, ce n’est pas quelqu’un, c’est Sophie Gentils. A voir !
le samedi 31 mars JEAN MARC AVOCAT, Comédien, Texte d’Aragon
Un texte de jeunesse d’Aragon : les aventures de “jean-Foutre la bite”; une histoire incroyable et des personnages aux noms croustillants. Drôle, politique, anarchique…. un réquisitoire sans merci contre toute forme d’autorité ! une langue puissante portée par un comédien brillant et débridé.
Jeudi 31 mai : Karim BEMNAT : auteur, metteur en scène – les cosmonautes
Trois hommes perdus dans l’espace, leurs provisions diminuent, ils s’inventent des histoires pour passer le temps…. Alliances et stratégies, délires psychotiques et jeux de rôles, comment tout cela va-t-il finir ?
Un texte porté par trois comédiens des ateliers de la Cie Kraft
et puis…. le mercredi 31 octobre 20H30 : mon choix : Nefissa BENOUNICHE : conteuse ; beaucoup la connaissent (elle a participé au R.V. du 31 dans ses début en 2006 puis elle a fait de nombreux festivals de contes pas très loin de chez nous : Grenoble, Saône et Loire…. Pour moi il y a deux merveilleuses conteuses en France c’est Nefissa et Myriam et… si vous fréquentez les “31” vous connaissez les deux ! et je suis sûre que vous êtes d’accord avec moi et que donc, vous en redemandez